ESOMEPRAZOLE 20MG BGR CONS GEL 7
En cours de réapprovisionnement
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Les gélules doit être avalées telles quelles avec un demi verre d'eau, au cours ou en dehors des repas.
Pour les personnes qui ont du mal à avaler les gélules, celles-ci peuvent être ouvertes et leur contenu dispersé dans un verre d'eau non gazeuse. La solution obtenue doit être bue dans les 30 minutes suivantes. Pour récupérer les éventuels granules déposés sur les parois, rincer le verre avec un peu d'eau et la boire.
Posologie usuelle:
Arrêter le traitement lorsque les symptômes ont disparu. Le traitement ne doit pas dépasser 2 semaines sans avis médical.
p cp | |
Ésoméprazole | 20 mg |
Saccharose | + |
Parabens | + |
L'effet des inhibiteurs de la pompe à protons n'est pas immédiat. 2 ou 3 jours de traitement peuvent être nécessaires pour observer une diminution des douleurs. Ce médicament peut ne pas convenir si les brûlures d'estomac sont trop espacées (moins de 2 fois par semaine) ; demandez conseil à votre pharmacien.
Il est préférable de consulter un médecin dans les situations suivantes :
Les personnes souffrant de reflux gastro-œsophagien doivent éviter d'utiliser des médicaments contenant de l'aspirine ou des AINS qui augmentent l'acidité de l'estomac. Le paracétamol est en revanche sans danger pour traiter les douleurs ou la fièvre.
Conducteur : ce médicament peut provoquer parfois des étourdissements et des troubles de la vue.
Ce médicament peut interagir avec les médicaments contenant de l'atazanavir ou du clopidogrel. Leur association est déconseillée.
Informez par ailleurs votre médecin ou votre pharmacien si vous prenez un médicament contenant contenant l'une des substances suivantes : digoxine, tacrolimus, méthotrexate, itraconazole, kétoconazole, phénytoïne, rifampicine ou du millepertuis.
L'effet de ce médicament pendant la grossesse ou l'allaitement est mal connu. L'évaluation du risque éventuel lié à son utilisation est individuelle : demandez conseil à votre pharmacien ou à votre médecin.
Fréquents (1 à 10 % des cas) : maux de tête, douleur abdominale, diarrhées, constipation, nausées, vomissements, ballonnements.
Peu fréquents (moins de 1 % des cas) : bouche sèche, insomnie ou somnolence, étourdissements, fourmillements des extrémités, vertiges, rougeur cutanée, démangeaisons, augmentation des transaminases.
Rares (moins de 0,1 % des cas) : agitation, confusion des idées, dépression, perturbation du goût, vision trouble, candidose intestinale, douleurs musculaires ou articulaires, réaction allergique, photosensibilisation, chute de cheveux, transpiration excessive, anomalie de la numération formule sanguine (dont de très rares agranulocytoses), hyponatrémie, insuffisance rénale, hépatite.
Très rares : agressivité, hallucinations, faiblesse musculaire, gynécomastie, maladie grave avec destruction brutale de la peau et des muqueuses.
Très occasionnellement, les inhibiteurs de la pompe à protons pourraient également provoquer le développement d'un lupus cutané. En cas d'éruption cutanée, notamment sur des zones exposées au soleil, consultez votre médecin sans tarder.
Ce médicament appartient à la famille des inhibiteurs de la pompe à protons (IPP). Il diminue la sécrétion des acides gastriques et permet ainsi de combattre les troubles liés à l'acidité de l'estomac. Il agit de façon prolongée, mais retardée : la baisse de l'acidité de l'estomac demande un délai de quelques jours.
Il est utilisé dans le traitement de courte durée des symptômes du reflux gastro-œsophagien (brûlures d'estomac, régurgitations...).
Le traitement médicamenteux du reflux gastro-œsophagien ne se conçoit que lorsque les mesures simples suivantes n'ont pas permis de faire disparaître les symptômes :
Ces conseils visent à empêcher le contenu acide de l'estomac de refluer dans l'œsophage pendant la digestion.
Si vous êtes fumeur, la poursuite du tabagisme est un frein important au traitement ; la nicotine augmente l'acidité gastrique et réduit l'efficacité du muscle qui ferme la jonction entre l'œsophage et l'estomac.